Comment avoir l’air cool en moto ?

La moto, symbole de liberté, donne à son possesseur le statut d’homme cool. Il devient le fantasme des femmes et l’idole des hommes. Mais la moto est une arme à double tranchant, mal utilisée elle peut très bien faire de vous un plouc. Alors, pour vous, les fans de Johnny, quelques règles à respecter pour devenir un vrai biker.

L’apparence et l’attitude donnent le ton. La première impression est capitale et la rater est synonyme d’échec. Un motard n’échoue jamais. Votre matière première sera le cuire, il faudra composer autour. J’ai personnellement adopté le style veste en cuir, jean américain avec des santiags. Il est aussi préférable de se laisser pousser une barbe, un peu comme Johnny, elle mettra en avant votre virilité. Je vous invite à suivre ces conseils même s’il ne s’agit que d’un emballage, une beauté extérieure, le plus important finalement c’est d’écouter du rock. Mais pas n’importe quel rock, le bon rock. La musique, la vraie. Le rock qui vous prend au trip, vous transcende et vous fait goûter à l’éternité. Johnny est éternel et vivra toujours à travers le ronronnement des moteurs V8 roulant sur les routes départementales. À 90 km/h bien sûr, honte au nouveau code de la route qui souille nos traditions et le nom de nos ancêtres.

Je finirais avec quelques règles de base qui relèvent du bon sens. Premièrement, toujours saluer les collègues rider, on n’ignore pas un frère d’armes. Je préfère le préciser, mais tout motard avec une bécane de collégienne n’est pas considéré comme un rider. Donc on ne salue pas ces petites natures de scooter et tutti quanti. Deuxièmement, en ville, il est important de réaliser des burns lorsque les feux rouges passent au vert. Cela permet à votre moteur d’évacuer le surplus de puissance accumulée par les limitations de vitesse. Qui sont, à mon avis, bien trop lentes. Honte au code de la route qui profane le culte du motard. Mon coup de gueule étant passé, j’aimerais aussi parler des raisons qui me poussent à aimer la moto, les autoroutes allemandes et le rock de Johnny.

Par Steeve